L’Arménie est entrée dans la liste des dix plus grands exportateurs de vin au monde

L’Arménie, le seigneur a bénit l’Areni

 

Selon les historiens, les premiers vignerons de l’humanité seraient des Hourrites de Transcaucasie. Les disciples de Jésus auraient pris le relais. Une vraie fierté pour l’Arménie, première nation au monde à s’être déclaré état chrétien en 301. La production de « sang du Christ » se serait ensuite perpétuée dans les monastères du pays.

L’Arménie est récemment entrée dans la liste des dix plus grands exportateurs de vin au monde, une manne pour l’économie locale. Les vignes sont plantées en altitude, à 1 400 m, tout autour de la cuvette d’Areni, elles donnent un goût fruité au vin. On en cuisine même les feuilles en les farcissant de viande (Dolma), sur toutes les belles tables du pays.

Renaissance vitivinicole en Arménie, berceau de la vigne et du vin à lire

UN PATRIMOINE D’ORIGINE BIBLIQUE: VIGNE ET VIN EN ARMENIE A LIRE

 

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Photo: http://drink-the-world.com/?p=1109

Le village montagneux d’Areni, aussi biblique que préhistorique, pourrait participer à la renaissance du vin arménien, c’est là, au détour de longs tunnels qu’en 2007 au croisement d’une route qui par une gorge étroite monte au célèbre monastère Noravank, que se trouve la grotte Areni 1 dans laquelle une équipe d’archéologues arméniens et britanniques a découvert, dans une grotte et  dans trois chambres, des jarres remplies de pépins de raisins, datant de 6 000 ans. Une seconde campagne de fouilles, menée en 2010, a mis au jour, un fouloir, une cuve de fermentation, des sarments de vigne desséchés.

En octobre, la localité viticole d’Areni vibre de toute l’animation de sa fête du vin. Le vin, qui est à l’honneur toute l’année à Areni, est célébré début octobre à l’époque des vendanges : le vin coule à flots, accompagnant les spécialités culinaires arméniennes, le tout au son de la musique folklorique qui invite à danser.

Areni Wine Festival clic

La 9ème édition du Festival du vin Aréni s’est déroulée samedi 7 octobre au village d’Arménie dans la région de Vayots Dzor au sud de l’Arménie, un Wine Festival sous l’impulsion dynamique de Nune Manukyan avec un concours des vins Arméniens organisé par EVN Wine Academy .

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Les résultats du concours de dégustation de vin Areni Wine Festival 2017
#EVNWineAcademy #ICAREArmenia#AreniWineFestival #WinesofArmenia

 

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Armas karmrahyut Reserve 2013

Koor Red Reserve 2014

Voskevaz Karasi Collection Haghtanak 2015

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Quelques vignerons de l’Arménie

Qotot

Voskevaz

Old Bridge

Keush

Highland Cellars

Trinity

Voskeni

Maran Winery

Hin Areni

Van Ardi

Kataro

Zorah

Karas

Takar

Ariats

Koor

Zara Wines

Voskeni

Voskevaz

Noravank est un monastère arménien situé dans une gorge de la communauté rurale d’Areni, non loin de la ville d’Eghegnazor, dans le marz de Vayots Dzor, au sud de l’Arménie.

Le terroir viticole en Arménie

La viticulture est ancrée dans l’histoire du pays et chère à tous les arméniens. L’Arménie est l’une des plus vieilles civilisations viticoles mais ce secteur est en retard. En effet, il a souffert au cours du XXe siècle sous les soixante-dix années de domination soviétique. Durant cette période, Géorgie et Moldavie se chargeaient de la production de vins ; l’Arménie, quand à elle, produisait le Brandy.

Aujourd’hui, le Brandy reste important dans la culture arménienne, aussi bien pour sa production, principalement exportée en Russie, que pour sa consommation. Le secteur viticole est lui en pleine reconstruction, la production de vin s’améliore et augmente chaque année, les habitudes de consommation changent lentement, et le vin remplace petit à petit le Brandy sur la table des arméniens. Par ailleurs, le dynamisme de quelques producteurs passionnés, comme Zorik Gharibian ou Varuzhan Mouradian, va permettre au pays de se hisser rapidement au rang de nation viticole de qualité. 

Tout près d’Areni, à Rind, à 1.400 mètres d’altitude, l’italo-arménien Zorik Gharibian œuvre depuis douze ans à la construction d’un vignoble sur les anciennes vignes – préservées de toute influence de modernité agriculturale – d’un monastère du XIIIème siècle dans l’écrin majestueux d’un paysage à couper le souffle.

L’oenotouriste amateur de richesse ampélographique appréciera la volonté de redonner vie aux anciens cépages autochtones – dont l’Areni (« le » cépage local, adapté au climat continental et aux énormes écarts de température), plantés en franc-de-pied puisque le pays ne connait pas le phylloxéra.

Il se présente pourtant une grosse difficulté – au-delà de la nécessaire irrigation et de l’épierrement colossal des terres à effectuer : la perte irréparable des traditions viticoles avec lesquelles il aurait fallu renouer…

Le chais définitif – qui doit accueillir dolia d’argile et cuves semi-ovoïdes en béton – n’est pas encore terminé, et, déjà, le vin Zorah Karasi Areni Noir 2010 – a été distingué par un top 10 mondial du magazine Bloomberg

Distribuer sur 06 et Monaco par Varduhi Tovmasyan vard@tovmasyan.co

Photos de la Dégustation des vins Arméniens en 2016

Tierras de Armenia

D’autres investisseurs s’intéressent à redonner du lustre sur le plan mondial au vignoble arménien, parfois avec de grands et gros moyens.

Ainsi, pour le milliardaire arméno-argentin Eduardo Eurnékian qui, à l’ouest d’Erevan, avec le concours de (l’inévitable ?) Michel Rolland, a déjà créé un vignoble de 450 hectares (Armavir Wines, vins Karas) sur un projet de 2.300 hectares à terme. Un budget prévu de 40 millions d’euros, inférieur à celui de son autre vignoble en Patagonie, Fin del Mundo.

Si les cépages internationaux (Cabernet Sauvignon, Syrah, Tannat, Petit Verdot, Chenin…) constituent l’essentiel de la plantation, quelques dizaines d’Areni, sélectionnés avec le pépiniériste français Mercier, sont en test.

winetourisminfrance.com

Armenia Wine Company

Zara wines

Legend About Armenian Wine – part I

Legend About Armenian Wine – part II

Cuisine Arménienne (clic),Le repas typique arménien se déroule autour d’une table sur laquelle sont présentés tous les plats simultanément — entrées et plats principaux. Les boissons (vodka, vin, tahn, jus de fruits et eau) sont également regroupées près des plats. Le sens de l’accueil arménien obligeant l’hôte à offrir à son invité « plus que ce qu’il possède », la table idéale est celle sur laquelle il semble y avoir une profusion de victuailles.

Des adresses à retenir:

 
 Ani Plaza hotel
La Boheme
Ai Leoni
Mezzo
Wine Republic 
In Vino Evn
 
 
 
 
 
UN PEU D’HISTOIRE

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Caverne de Tertchounneri, Vayots Dzor – Arménie

 
L’Arménie, berceau du Christianisme, se revendique aussi comme le berceau du vin, appuyant ces propos par des faits historiques.

Tout d’abord, dans la tradition judéo-chrétienne, Noé le père de la viticulture a planté des pieds de vigne sur les contreforts de l’Ararat, après que son Arche s’y soit échouée. Ce récit est conté dans la Genèse « Or, Noé commença par être un bon cultivateur et planta alors trois vignes », une histoire biblique vieille de 5000 ans. Ensuite en 2007, une équipe internationale, dirigée par Boris Gasparian, a découvert une ancienne fabrique de vin dans la caverne de Tertchounneri, région de Vayots Dzor. Cette fabrique de vin, comprenant un pressoir rudimentaire et une cuve d’argile entouré de pépins de raisin et des Karas, serait la plus ancienne du monde et daterait de 6000 ans.

 

 

 

LE TERROIR & LES RÉGIONS VITICOLES

Areni Grappes, Van Ardi Vineyards, Sasunik (Aragatsotn) - Armenia

Cépage Areni, Van Ardi Vineyards – Arménie

 
 
 
Le terroir arménien est caractérisé par son altitude élevée, plus de 90% du pays est situé à une altitude supérieure à 1000 mètres. Le vignoble le moins haut est celui du Haut-Karabagh situé à près de 800 mètres. Les cépages les plus répandus sont le cépage Areni pour les vins rouges et les cépages Tchilar et Voskeha pour les vins blancs. Le vignoble destiné à la production de vin s’étend sur 15 000 à 17 000 hectares et le marché est dominé par une trentaine de producteurs officiels. La production de vin est aussi l’apanage des petits vignerons qui produisent traditionnellement leur vin dans des amphores en terre cuite appelées Karas et le vende localement dans un contenant quelque peu surprenant, des bouteilles en plastique.

Zorah Wines, Rind (Vayots Dzor) - Arménie

Karas – Arménie

 

 

 

Le terroir arménien peut sembler peu propice à la culture de la vigne. Les hivers sont très rudes, notamment dans la plaine de l’Ararat, où il est nécessaire d’enterrer les pieds de vigne pour les protéger. Un travail titanesque ! Heureusement, ce n’est pas le cas pour toutes les régions viticoles du pays, la région du Tavouch par exemple, qui est plus basse en altitude et plus douce en température, ne requiert pas une telle tâche. A contrario, les étés sont caniculaires obligeant les viticulteurs à irriguer leurs vignobles. Là encore, la technique est quelque peu étonnante. L’eau est une denrée rare ici, elle est contingentée par le gouvernement qui ouvre de temps à autre les vannes… Seule solution, l’irrigation par inondation. Cependant, quelques domaines, conscients de l’importance d’un apport régulier et au compte goutte en eau, ont construit des bassins de rétention d’eau.

 

 

Artem Parseghian (Trinity 6100) (clic)

6100 Trinity reflète caractéristiques uniques et merveilleux de Areni - ses saveurs mûres de fruits noirs, 
de caramel et une légère touche d'épices.

Ce vin a une couleur rubis profond et a été vieilli en fûts de chêne du Caucase pendant 12 mois, 
combinant la technologie la plus avancée de la vinification avec la tradition arménienne de l'artisanat du vin.

 

Les principales régions viticoles en Arménie sont le Vayots Dzor (sud-est de la capitale Erevan), le Tavouch (région Nord-Est à la frontière de l’Azerbaïdjan et la Géorgie), la plaine de l’Ararat et le Karabagh.

 

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                                                                                                                                                                                                      Origine de la Photo www.transandine.fr
LA RÉGLEMENTATION
L’organisation du monde viticole se met doucement en place, il n’existe à ce jour pas de réglementation stricte sur les appellations ou les méthodes de production. Mais la volonté est là et la mise en place d’une législation adaptée prendra quelques années. Les quelques producteurs ouverts sur le marché extérieur se sont alignés aux règles internationales afin de pouvoir proposer leurs produits à l’export.

Il existe toutefois une interdiction issue d’une croyance assez singulière. Les vignes de la plaine de l’Ararat sont considérées immunisées contre le phylloxera. Ainsi, les autorités ont prohibé l’importation de pieds greffés dans cette région ; autrement dit les vignes de la plaine de l’Ararat sont plantées en franc de pied.

Source Original Posted by Amandine 


Histoire

Préhistoire

Se basant sur les plus récentes découvertes archéologiques, des auteurs comme Alexis Lichine situent en Arménie la « patrie du raisin », tandis que Hugh Johnson ne manque pas de souligner que ce lieu d’origine de la vigne cultivée est en même temps celui où le mont Ararat sert de frontière septentrionale entre la Turquie et l’Arménie orientale, lieu où la légende biblique fait planter la vigne par le patriarche Noé à la fin du Déluge. Une récente découverte a encore repoussé la date d’apparition de la vigne et du vin. Au cours de l’année 2007, une équipe composée de vingt-six archéologues irlandais, américains et arméniens a fouillé un site, proche de la rivière Arpa, près de la communauté d’Areni. Dans une caverne composée de trois chambres, ils ont trouvé un crâne contenant encore son cerveau, des traces de cannibalisme ainsi que des vases emplis de pépins de raisin permettant de supposer qu’en ce lieu, il y a 6100 ans, aurait eu lieu la plus ancienne vinification au monde.

Cette apparition du premier vin sur le haut-plateau arménien et en Transcaucasie a été aussi confortée par la découverte de pépins de raisin dans des couches datant des IVe et IIIe millénaires av. J.-C., tant en Géorgie que dans la plaine de Kharpout. À cette même période, d’autres fouilles ont mis en évidence en Arménie la présence de grandes réserves à vin près des habitations par la découverte de grandes jarres portant des traces de fermentation et des résidus de lie. Tout près, une aire pavée servait de fouloir.

Antiquité

Ce qui est aussi assuré par l’archéologie est que 1 000 ans avant notre ère, le royaume de Van possédait un important vignoble qui couvrait la plaine de l’Arménie et le sud de la Transcaucasie. Il était irrigué par l’eau de torrents qui avaient été canalisés. Et l’histoire a noté qu’en 717 avant notre ère, quand les Assyriens du roi Sargon II, pillèrent la ville de Van, ils trouvèrent de vastes caves à vin. Des bas-reliefs montrent les soldats en train d’aspirer le vin des jarres grâce à des tubes. Les fouilles in situ ont mis en évidence l’utilisation de soufre et l’utilisation de raisins passerillés pour la vinification. La production du vin semble par ailleurs y avoir été associée avec l’exercice de la fonction royale : ainsi, le roi Menua plante des vignes le long du canal qu’il a fait creuser.

L’historien grec Hérodote, dans ses Histoires, décrit comment le vin d’Arménie descendait par l’Euphrate jusque vers Babylone. Des tonneaux, sans doute des troncs de bois évidés, étaient embarqués sur des bateaux circulaires entièrement faits de peaux tendues sur des nervures de saule. Ce transport régulier de vin d’Arménie vers Babylone, qui possédait ses vignobles, est la preuve de l’excellence des vins produits sur le piémont du Caucase.

C’est toutefois sous les monarques artaxiades, au Ier siècle av. J.-C., que la production atteint un niveau assez élevé.

Moyen Âge

La viticulture se poursuit jusqu’au Moyen Âge : au Xe siècle, le vin est produit au Vaspourakan des rois Arçrouni, autour du lac de Vanet dans les vallées de l’Araxe et du Botan. La viticulture se retrouve également en Petite-Arménie. À l’issue de la période bagratide, on dispose également d’une description des vignobles et de l’industrie qui leur est liée pour la région de Dvin à l’époque du siège infructueux de l’ancienne capitale par les Byzantins en 1049.

Au cours du XIIe siècle, une vive querelle éclata entre l’Église arménienne et l’Église grecque au sujet du vin de messe. Le conflit atteignit son paroxysme en 1178. Les divergences portaient sur la question de savoir s’il fallait mettre de l’eau dans le vin, si cette eau devait être chaude, si le vin devait être rouge ou blanc, etc. Les deux parties décidèrent de mettre un terme à leur querelle byzantine en faisant appel à un arbitre musulman. Celui-ci régla la question en considérant que puisque dans sa religion le vin était impur, il suffisait de le remplacer par de l’eau, renvoyant ainsi les deux plaignants dos à dos.

Période moderne

Les siècles suivants constituent pour l’Arménie l’« âge obscur » de son histoire, aux témoignages très rares. La viticulture a cependant subsisté : on retrouve mention de vignobles en Arménie perse à la fin du XVIIe siècle, avec l’accession au trône séfévide de Chah Huseyin en 1694 et l’interdiction du vin qu’il édicte aussitôt dans ses États ; les missionaires jésuites rapportent alors la destruction du vignoble d’Erevan, qui produisait « le meilleur vin de l’Empire perse ».

Au XIXe siècle, la production du vin est un des trois piliers de l’agriculture de l’Arménie russe (à côté de la culture des céréales et de l’élevage). L’industrie vinicole se développe à la fin du siècle, avec notamment la création en 1887 de l’ancêtre de la Yerevan Brandy Company, aujourd’hui plus connue pour son brandy. Cet essor est cependant arrêté net lors de l’occupation turque de 1918 : les vignobles sont arrachés ; l’éphémère Première République d’Arménie tente alors d’encourager la culture de la vigne au moyen de subsides.

Période contemporaine

Du temps de l’Union soviétique, la majeur partie de la production d’Arménie était exporté vers la Russie. Le consortium Arardidétenait alors le monopole sur les vins arméniens et avait des chaînes d’embouteillage à MoscouLéningradKiev et Saratov. Il est à noter qu’alors que tous les vins étaient logés dans des cuves en ciment verré, dans la région d’Erevan, le kolkhoze « Commune de Paris » utilisait encore des anciens karass de terre.

Louis Orizet, qui se trouvait dans les années 1960 à Moscou, indique que dans le restaurant qu’il fréquentait, les Moscovites avaient comme habitude, avant de choisir un menu, de commander une bouteille de cognac arménien, une bouteille de vodka et deux bouteilles de vin blanc de Crimée. Intrigué par une telle consommation préalable, il voulut en connaître les raisons. Il lui fut indiqué que l’on commençait par le cognac car il avait le plus de goût, la vodka suivait en tant que boisson traditionnelle, ensuite il était nécessaire de boire du vin blanc pour calmer les brulures de l’alcool et étancher la soif. En 1984, à la suite de la politique antialcoolique de Mikhaïl Gorbatchev, de nombreux vignobles arméniens ne furent plus exploités.

Avant l’indépendance

Les grands centres de production se situent à EtchmiadzinAchtarakVedi et Armavir. L’Arménie, avant son indépendance, produisait différents types de vin doux ou d’alcool (alors baptisé cognac) qui étaient commercialisés avec un lieu d’origine.

Après l’indépendance

En 2008 le vignoble arménien a produit 82 385 hectolitres de vin et 159 615 hectolitres de brandy. Une statistique intermédiaire entre janvier et juin 2009, permettait de savoir que 36 268 hectolitres de brandy avaient été distillés, ce qui représentait une chute de 50,4 % par rapport au premier semestre de 2008. Par contre, durant cette même période, la mise en marché du vin avait fait un bond de 8,9 %, atteignant 14 829 hectolitres, le mousseux continuant sa percée avec plus 13,6 % soit 700 hectolitres. En défintive, au cours de l’année 2009 la production de brandy a subi une baisse de 38,4 % avec 98 690 hectolitres. En revanche, celle du vin a été en augmentation de 30,8 % avec 143 721 hectolitres, la nouvelle production du mousseux fléchissant de 1,7 % avec 4 564 hectolitres.

Source http://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr

La production de vin en Arménie a augmenté de 30% en 2016, a déclaré Avag Harutyunyan, le chef de l’Union des vignerons arméniens, lors d’une conférence de presse citant ce qu’il a qualifié de « sources non officielles ». 
Selon ses propres termes, les vignobles locaux ont produit au moins 6 millions de bouteilles de vin, dont 4 millions de vins de raisin. Il a également déclaré qu’au cours des sept dernières années, la consommation de vin en Arménie a été en hausse avec de nombreux citoyens (…)